Bonjour tout le monde,
Dimanche dernier, nous sommes allés faire une balade autour de chez nous.
Nous avons cette vue quotidienne de chez nous. Et nous ne connaissons pas cette petite colline au fond. Nous avons donc décidé d'aller l'explorer à pied.
c'est cette colline recouverte d'eucalyptus
Nous chaussons donc nos chaussures de marche, au placard depuis plusieurs mois, confinement oblige...
J'ai bien vidé les miennes avant de les enfiler au cas où un petit habitant indésirable y ait élu domicile. Genre scarabée (de taille très variable... ), scorpion ou autre animal non bienvenu.
Bon, à part de la terre durcie souvenir de notre échappée aux lacs de Mojanda en janvier (voir ici et là), rien.
Vous nous suivez ?
on ne résiste jamais bien longtemps au bruit de l'eau...
Et il fallait bien que ça arrive : à un moment, ça commence à grimper sévère...
Cela faisait très longtemps qu'on n'avait pas arpenté nos environs par monts et par vaux comme nous le faisions plusieurs fois par semaine avant le confinement. Eh ben, on a bien senti passer la grimpette !
Dur dur ! Entre la perte de l'habitude, l'altitude et la chaleur (on s'était habillé trop chaudement et on a crevé de chaud)(on saura la prochaine fois), on en a un peu bavé, disons-le.
Mais nous sommes arrivés au bout.
vue sur Otavalo et tout au fond, le volcan Fuyu Fuyu
-certains l'écrivent Fuya Fuya- à 4263 mètres
une pause s'avère nécessaire avant de poursuivre
ça y est : nous sommes au milieu des eucalyptus.
Et ça sent tellement bon !
et après une montée raide, nous arrivons ici.
Oui, un champ cultivé malgré son accès plutôt sportif...
un peu de vent sur les hauteurs et vue sur Otavalo
La vidéo donne une idée de ce qu'on a monté à pied ; nous habitons quelque part dans Otavalo et nous avons tout fait à pied.
vue sur le volcan Imbabura, à 4609 mètres d'altitude
les eucalyptus côtoient ces agaves impressionnants
ces bébés eucalyptus sont tout roses pour l'instant
sur cette photo, à peu près au milieu et tout au fond, on distingue vaguement une ligne montante dans la montagne. C'est là que nous habitions avant de déménager à Otavalo.
on sort de la forêt pour amorcer la redescente
Et c'est incroyable, à écrire cet article, j'ai l'odeur des eucalyptus qui me reviennent. Comme si j'y étais encore !
on passe de la forêt à un paysage plus lisse et sans arbre et où le vent souffle très fort
sur le chemin du retour
Comme vous pouvez l'imaginer au vu de cette dernière photo, nous sommes rentrés bien poussiéreux (comme au bon vieux temps où on sortait dans le territoire ;-), fourbus mais contents !
La difficulté de la grimpette nous a surpris. Enfin, plus exactement, on ne s'était pas rendu compte qu'on avait autant perdu l'habitude. Merci le Covid.
Donc, nous avons décidé de nous remettre en condition et avons prévu quelques autres balades au cours des semaines à venir. Quelques articles à venir donc ;-)
Parce que, quand même, un de nos objectifs est d'escalader le volcan Imababura. Alors si on veut y prendre plaisir, on a intérêt à se remettre en condition physique !
Sur ce, nous vous embrassons tous bien affectueusement !
Je viens de lire avec un peu de retard... Sympa ! Grâce à toi je sais maintenant qu'agave est masculin 😁
RépondreSupprimerJe confirme : agave est bien un nom masculin, j'ai vérifié du coup, après ton commentaire ;-)
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