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mercredi 21 mars 2018

PEDERNALES ou dans les pas de Mike Horn


Hello !

Dans la série "Côte Pacifique", on vous présente Pedernales.

Alors, d'abord, on vous explique deux/trois (ok, six) trucs sur Pedernales.

1) c'est une ville côtière très moche ;

2) elle est probablement moche depuis toujours mais le gros tremblement de terre d'avril 2016 l'a "amochie" encore plus (comme si c'était possible...)

3) y a une ambiance spéciale à Pedernales : c'est archi-bruyant, un peu crasseux, des objets roulants pas toujours identifiables dans tous les sens, des boutiques qui dégoulinent sur le trottoir, bref, pas terrible. Sauf que ben, nous, on ne peut pas dire qu'on n'aime pas (même si au bout d'une heure, on est content de retrouver du calme). C'est... comment dire... une autre culture... Ceux qui connaissent l'Afrique doivent probablement s'y retrouver.

4) les produits de la mer n'y sont pas trop chers : crevettes de toutes les tailles, langoustes, poissons, etc. Le paradis du fruit de mer, quoi !

5) et non des moindres, la plage est jolie et le Malecon (front de mer) est plaisant ;

6) et non des moindres encore, pour les connaisseurs, c'est de Pedernales exactement que Mike Horn a quitté l'Amérique du Sud sur son bateau Latitude 0 lors de son tour du monde non motorisé sur la ligne de l'Equateur. Alors, comme chez les Le Borgne*, Mike Horn fait quasiment partie de la famille depuis 15 ans (plus ?), je me suis dit que ce serait un bon argument de "vente" de la ville :-)

*(Hey, les gars, j'ai converti Ludo)

Donc, à suivre quelques images dans les pas de Mike :


Derrière le nom de la ville, il y a un monument érigé après le tremblement de terre. Y sont gravés les noms des victimes. 
Il y en a beaucoup. 

Ruines suite au tremblement de terre, ci-dessus et ci-dessous


 
Tout se transporte à vélo !









Voilà pour la petite balade exotique !

Grosses bises à tous !

dimanche 18 mars 2018

COJIMIES, COTE PACIFIQUE

Bonjour !

Vous savez qu'avec maman et Annie, nous sommes allés sur la côte (ici). On vous fait visiter notre hôtel (on ne se moque pas de la déco stp)et la plage ?






l'entrée de l'hôtel




sur la photo ci-dessus, notre chambre-appart au rez-de-chaussée/bord de piscine


Attention les yeux, âmes sensibles s'abstenir !!!! Ci-dessous, une des chambres :


















l'espèce d'abat-jour au-dessus du lit c'est une moustiquaire 
(mais que c'est moooooche !!!)



la mascotte de l'hôtel 
(y en avait deux, mais l'autre n'a jamais voulu sortir)





ci-dessus et ci-dessous, quelques bars/restaurants sur la plage





Restaurant les pieds dans le sable

















la pêche du jour arrive







Courses quotidiennes : ananas et avocats !
Et bananes ?

Nous avons aussi rencontré des gens sympas qui nous ont fait goûter un fruit que nous ne connaissions pas : le "guava". 

On a juste demandé ce qui poussait là, dans l'arbre et le monsieur est monté dans l'arbre illico presto pour nous en couper et nous faire goûter.


Le même principe que la cabosse de cacao au niveau "logistique". Et c'est doux et rafraîchissant au goût.

C'était le Cojimies qu'on aime bien.

A bientôt !

jeudi 15 mars 2018

À DE VERTES ALTITUDES

Bonjour la compagnie, 


Nous espérons que tout le monde va bien et se dirige tranquillement vers le printemps. Chez nous, il semble que la saison des pluies se termine ; ciel bleu, soleil et chaleur sont de retour !

Nous sommes allés prendre le frais à Latacunga chez nos copains Véro et Yann. Nous nous attendions à du froid et de la pluie.. Mais non ! Nous avons vraiment eu un joli weekend ensoleillé. Certes un peu frais le matin et le soir mais à 3000 mètres d'altitude, ça se tolère, non ?

Nous avons même fait la sieste dehors samedi après-midi, après le barbecue et le café gourmand (on s'est cassé le vennnnn-tre, les amis !), allongés dans l'herbe au soleil. Ben... faisait trop chaud en fait, on s'est mis à l'ombre !

Et dimanche, nous sommes partis en balade, à El Boliche, un parc à environ une heure de voiture de Latacunga. Le parc est à  3 550 mètres d'altitude et la forêt derrière un peu plus haut. Ce parc fait partie de la réserve nationale du volcan Cotopaxi. 



Donc, pour vous aider à visualiser, nous sommes partis de la maison, à 25 km au nord-ouest d'Ibarra, tout en haut sur la carte pour aller tout au sud de la carte, à Latacunga. 

220 kilomètres sur la Cordillère et 4 h 15 de voyage. Et ça, c'est la durée normale, sans panne. 

Vous voyez le parc du Cotopaxi, c'est donc là que nous vous emmenons aujourd'hui :-))

A suivre quelques images de notre balade dominicale, au vert et dans le silence.


Début de notre promenade :

 On a fait plus que les 320 mètres de marche, hein


Pas très chaud à cette altitude

On a déjà entamé les chips de plantains (dans le sac noir que porte Véro) parce que la marche, ça creuse !

 

















Quelques fleurs locales 












l'apéro (ou pas)





la forêt








 le grand méchant loup sort des bois...

Ah ben non, c'est Ludo, pardon !














Et, au bout du chemin, une mini-prairie avec 2 barbecues à disposition ! 
Nous n'avions rien emporté à griller. Et surtout, le feu a mis très longtemps à prendre car un peu humide, faut dire.

Mais ce fut un petit pique-nique bien sympa. 

Un petit feu avant de partir, histoire de rassurer les ego des garçons... ils n'y sont pas parvenus tout de suite alors pour nous (se??) prouver que ce sont de vrais aventuriers dignes de Koh-Lanta, ils ont persisté. Et réussi. Bravo.




Et sur le chemin du retour vers la voiture,



 nous croisons quelques locaux : 



Des lamas, donc. Bien poilus, bien dodus (merci petit J... ah, non c'est pas ça...)

Difficile d'imaginer que nous étions à 3 600 mètres d'altitude, pas vrai ? Avec toute cette végétation !

Sur ces quelques kilomètres en longitude et en altitude, nous vous embrassons bien affectueusement !