COUCOU À TOUS !
Je vous avais promis la suite de nos aventures aux Galápagos et je n'ai jamais pris le temps de le faire. Alors, avant que ne sonne le clap de fin de ce blog, je vous emmène en voyage sur l'île Isabela.
Le premier article sur l'île de Santa Cruz est ici.
c'est MON île !!!!!
Je vous laisse découvrir tout ça en images.
L'île Isabela est bien plus grande que l'île de Santa Cruz où nous avons passé quelques jours en arrivant aux Galápagos (nous avons atterri sur l'île de Baltra). Elle est aussi bien plus sauvage et naturelle et nous avons beaucoup aimé.
Sauf la traversée en petit bateau de Santa Cruz à Isabela, qui fut terrible, le pire voyage de ma vie en mer. C'est ce que j''ai en tout cas pensé à l'aller....
Notre petit hôtel était très bien, très calme, juste à la sortie du village.
notre chambre
Notre table pour le petit déjeuner
(petit hôtel j'ai dit : une seule table pour tout l'hôtel)
Nous avons vite repéré un coin sympa, une sorte de piscine naturelle où nous sommes allés nager et plonger plusieurs fois. Nous avons nagé avec des tortues, des raies, petites et grandes, des lions de mer, des centaines de petits poissons multicolores, etc. Un coin très sympa, gratuit et très accessible.
Nous avons mangé de la langouste...
Des randonnées sous un soleil de plomb et des vues splendides
dans les rues du seul village (et minuscule) de l'île Isabela
la petite plage tranquille qu'on a immédiatement adoptée
Vu le soleil, la chaleur et le fait d'être au niveau de la ligne équatoriale, il vaut mieux rester à l'ombre...
Et toujours des animaux en liberté, en veux-tu en voilà.
Indication sur le lieu d'évacuation en cas de tsunami...
autre petit coin de plage bien agréable
Mer turquoise à presque 30 degrés....
Les Galapagos sont vocaliques et ici encore un tunnel de lave
L'île Isabela a été une île-prison pendant quelques années. On exilait les prisonniers ici et ils n'avaient aucun moyen de s'échapper. Pour les "occuper", on leur a fait construire ce mur de pierres " le mur des larmes". Mur qui n'a absolument aucune utilité, il est au milieu de rien, au milieu des terres.
On image assez bien l'absurdité du travail de ramasser les pierres on ne sait où, de les porter jusqu'à ce lieu, de les empiler sous le soleil écrasant et la chaleur....
Des petits coeurs pour changer de registre :-)
Un peu plus haut que le "mur des larmes", il y a cette ancienne station militaire des Etats-Unis.
avec une vue assez magique
(Jean-Claude et Marie-Thérèse, c'est de là que Ludo vous a appelés, si vous vous souvenez)
au loin, le seul village de l'île Isabela
un dernier tour à la plage avant de rentrer à Santa Cruz
puis chez nous
on n'est pas bien là ?
un cocktail (Piña Colada) au bord de l'eau pour le dernier soir
J'ai dit que la traversée aller était la pire de ma vie. En fait, non, c'est le retour... je ne veux plus jamais reprendre ce bateau. Deux heures de tangage, de roulis, de vagues super hautes. Genre Lada Niva à toute vitesse mais sur l'eau...
on ne dirait pas comme ça mais la mer était très agitée...
ça, c'était à quai mais en pleine mer et pendant plus de deux heures, ce fut éprouvant...
on a tenu le choc et on a fêté notre dernière soirée aux Galápagos.
J'espère que cette petite virée dans le Pacifique, au large des côtes équatoriennes vous aura enchantés !
Au mois d'août, nous avons fait un road trip de trois semaines sur les retours d'équateur. J'essaie de vous raconter avant "The End".
A bientôt !
